Lumiere



 Toi Marie qui est la-bas

 

 


Les fleurs devant toi s'inclinent

Troublées par ta beauté

Celle-là même qui me fascine

Vivant un conte de fée

Amour, oh mon bel amour

Si tu savais ce que je ressens

Je ne pense qu'à ce séjour

Et aux ébats frémissants

Le soir, sur la grande baie jouissons

De ces instants de tendresse

Des doux et agréables frissons

C'est la plus belle des richesses

Qu'on peut avoir ici bas

Nacer©

 

 

 

 

Lumière©2004/2006